« Patrick Bosso est mort » : l'humoriste victime d'une infâme rumeur

Patrick Bosso à son tour victime d'une rumeur de décès

La fausse nouvelle du décès de l'humoriste célèbre pour ses rôles dans La Fille du puisatier ou encore Bienvenue chez les Ch'tis, annoncée jeudi après-midi sur Twitter a provoqué un emballement médiatique sans précédent. Pas de panique, à 61 ans Patrick Bosso est toujours vivant et bien portant.

Correctif 29/03/2024 : Il semblerait que cette rumeur soit infondée. (en savoir plus)

Depuis jeudi (28 mars), une rumeur lancée sur Twitter, concernant une potentielle mort de Patrick Bosso, enflamme le réseau social.

Rumeur planétaire, l'effet Twitter

Le réseau Twitter colporte toutes sortes d’informations, les vraies comme les fausses. Les plus anodines comme les plus terribles. Ainsi nombres personnalités ont déjà été l'objet de fausses rumeurs de mort se propageant sur Internet comme une traînée de poudre. Hier, ce fut au tour de Patrick Bosso, humoriste français d'origine italienne, d’être enterré par un tweet funèbre.

Tout est parti du message : « Patrick Bosso vient de nous quitter. RIP. », publié sur le site de microblogging jeudi 28 mars vers 14h. La rumeur enflamme immédiatement la Toile. Nouveau tweet une heure plus tard : « Décès de Patrick Bosso, les proches de l'humoriste confirment ». Pour amplifier l'effet d'annonce, ce dernier tweet est accompagné d'un lien vers le site Nécropédia (qui précise pourtant que Patrick Bosso n'est pas mort).

Selon un sondage du Celebrity Post, une large majorité (82%) jugeaient jeudi soir les rumeurs du décès de Patrick Bosso de très mauvais goût.

L'entourage aurait « démenti formellement » la mort de l'humoriste

La fausse information est ensuite reprise par quelques radios puis par des médias du monde entier. Ce n'est que tard dans la soirée de jeudi que le porte-parole de l'humoriste se serait fendu d'un communiqué laconique qui « dément formellement le décès de Patrick Bosso ».

Les fans sont rassurés. Twitter est un outil d'information rapide, mais il faut être de plus en plus vigilant.

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