« Azouz Begag est mort » : l'ancien ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances victime d'une infâme rumeur

Azouz Begag à son tour victime d'une rumeur de décès

La fausse nouvelle du décès de l'ancien ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances, annoncée lundi après-midi sur Twitter a provoqué un emballement médiatique sans précédent. Pas de panique, à 67 ans Azouz Begag est toujours vivant et bien portant.

Correctif 5/11/2024 : Il semblerait que cette rumeur soit infondée. (en savoir plus)

Depuis lundi (4 novembre), une rumeur lancée sur Twitter, concernant une potentielle mort d'Azouz Begag, enflamme le réseau social.

Rumeur planétaire, l'effet Twitter

Le réseau Twitter colporte toutes sortes d’informations, les vraies comme les fausses. Les plus anodines comme les plus terribles. Ainsi nombres personnalités ont déjà été l'objet de fausses rumeurs de mort se propageant sur Internet comme une traînée de poudre. Hier, ce fut au tour d'Azouz Begag, homme politique français d'origine algérienne, d’être enterré par un tweet funèbre.

Tout est parti du message : « Azouz Begag vient de nous quitter. RIP. », publié sur le site de microblogging lundi 4 novembre vers 14h. La rumeur enflamme immédiatement la Toile. Nouveau tweet une heure plus tard : « Décès d'Azouz Begag, les proches de l'homme politique confirment ». Pour amplifier l'effet d'annonce, ce dernier tweet est accompagné d'un lien vers le site Nécropédia (qui précise pourtant qu'Azouz Begag n'est pas mort).

Selon un sondage du Celebrity Post, une large majorité (79%) jugeaient lundi soir les rumeurs du décès d'Azouz Begag de très mauvais goût.

L'entourage aurait « démenti formellement » la mort de l'homme politique

La fausse information est ensuite reprise par quelques radios puis par des médias du monde entier. Ce n'est que tard dans la soirée de lundi que le porte-parole de l'homme politique se serait fendu d'un communiqué laconique qui « dément formellement le décès d'Azouz Begag ».

Les fans sont rassurés. Twitter est un outil d'information rapide, mais il faut être de plus en plus vigilant.

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Azouz Begag dans l'actualité

 

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