« Mazarine Pingeot est morte » : la fille de François Mitterrand victime d'une infâme rumeur

Mazarine Pingeot à son tour victime d'une rumeur de décès

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La fausse nouvelle du décès de la fille de François Mitterrand, annoncée mercredi après-midi sur Twitter a provoqué un emballement médiatique sans précédent. Pas de panique, à 49 ans Mazarine Pingeot est toujours vivante et bien portante.

Correctif 21/11/2024 : Il semblerait que cette rumeur soit infondée. (en savoir plus)

Depuis mercredi (20 novembre), une rumeur lancée sur Twitter, concernant une potentielle mort de Mazarine Pingeot, enflamme le réseau social.

Rumeur planétaire, l'effet Twitter

Le réseau Twitter colporte toutes sortes d’informations, les vraies comme les fausses. Les plus anodines comme les plus terribles. Ainsi nombres personnalités ont déjà été l'objet de fausses rumeurs de mort se propageant sur Internet comme une traînée de poudre. Hier, ce fut au tour de Mazarine Pingeot, écrivain française, d’être enterrée par un tweet funèbre.

Tout est parti du message : « Mazarine Pingeot vient de nous quitter. RIP. », publié sur le site de microblogging mercredi 20 novembre vers 14h. La rumeur enflamme immédiatement la Toile. Nouveau tweet une heure plus tard : « Décès de Mazarine Pingeot, les proches de l'écrivain confirment ». Pour amplifier l'effet d'annonce, ce dernier tweet est accompagné d'un lien vers le site Nécropédia (qui précise pourtant que Mazarine Pingeot n'est pas morte).

Selon un sondage du Celebrity Post, une large majorité (78%) jugeaient mercredi soir les rumeurs du décès de Mazarine Pingeot de très mauvais goût.

L'entourage aurait « démenti formellement » la mort de l'écrivain

La fausse information est ensuite reprise par quelques radios puis par des médias du monde entier. Ce n'est que tard dans la soirée de mercredi que le porte-parole de l'écrivain se serait fendu d'un communiqué laconique qui « dément formellement le décès de Mazarine Pingeot ».

Les fans sont rassurés. Twitter est un outil d'information rapide, mais il faut être de plus en plus vigilant.

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Mazarine Pingeot dans l'actualité

 

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