« Moncef Marzouki est mort » : le président tunisien victime d'une infâme rumeur

Moncef Marzouki à son tour victime d'une rumeur de décès

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La fausse nouvelle du décès du président tunisien, annoncée samedi après-midi sur Twitter a provoqué un emballement médiatique sans précédent. Pas de panique, à 79 ans Moncef Marzouki est toujours vivant et bien portant.

Correctif 22/12/2024 : Il semblerait que cette rumeur soit infondée. (en savoir plus)

Depuis samedi (21 décembre), une rumeur lancée sur Twitter, concernant une potentielle mort de Moncef Marzouki, enflamme le réseau social.

Rumeur planétaire, l'effet Twitter

Le réseau Twitter colporte toutes sortes d’informations, les vraies comme les fausses. Les plus anodines comme les plus terribles. Ainsi nombres personnalités ont déjà été l'objet de fausses rumeurs de mort se propageant sur Internet comme une traînée de poudre. Hier, ce fut au tour de Moncef Marzouki, homme politique et écrivain tunisien, d’être enterré par un tweet funèbre.

Tout est parti du message : « Moncef Marzouki vient de nous quitter. RIP. », publié sur le site de microblogging samedi 21 décembre vers 13h30. La rumeur enflamme immédiatement la Toile. Nouveau tweet une heure plus tard : « Décès de Moncef Marzouki, les proches de l'homme politique confirment ». Pour amplifier l'effet d'annonce, ce dernier tweet est accompagné d'un lien vers le site Nécropédia (qui précise pourtant que Moncef Marzouki n'est pas mort).

Selon un sondage du Celebrity Post, une large majorité (69%) jugeaient samedi soir les rumeurs du décès de Moncef Marzouki de très mauvais goût.

L'entourage aurait « démenti formellement » la mort de l'homme politique

La fausse information est ensuite reprise par quelques radios puis par des médias du monde entier. Ce n'est que tard dans la soirée de samedi que le porte-parole de l'homme politique se serait fendu d'un communiqué laconique qui « dément formellement le décès de Moncef Marzouki ».

Les fans sont rassurés. Twitter est un outil d'information rapide, mais il faut être de plus en plus vigilant.

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Moncef Marzouki dans l'actualité

 

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